Eléments porteurs secondaires placés entre les éléments principaux de structure, poutres porteuses principales d'une structure et portant généralement sur ceux-ci.
Produit appliqué sur les moules ou coffrages afin d'éviter l'adhérence du béton lors du décoffrage.
Phénomène chimique par lequel un ciment fixe l'eau de gâchage et enclenche des processus de prise puis de durcissement. Cette réaction s'accompagne d'un dégagement de chaleur plus ou moins important selon le type de ciment.
Mélange très fluide de ciment, d'éléments fins et d'eau, qui a tendance à migrer vers la peau et couler dans les irrégularités, trous et interstices des moules, créant en surface des taches et auréoles dues à l'enrichissement en grains de ciments.
Béton dont l'ouvrabilité doit être grande car souvent utilisé dans des coffrages ou des moules de petites dimensions empêchant l'emploi d'agrégats pierreux normaux, ces derniers sont remplacés par des granulats fins comme le sable ou les poussières.
Opération consistant à éliminer, après le décoffrage ou avant la livraison de l'ouvrage, les éventuelles salissures dues au chantier : ruissellements accidentels, projection de mortier, traces de rouille...
Qualité rendant compte de l'aptitude d'un béton à être mis en oeuvre. Pour les bétons courants, on l'apprécie par une valeur de consistance, qui est déterminée par l'affaissement au cône d'Abrams.
Elément parallélépipédique rectangulaire plein dont l'épaisseur est variable de 40 à 130 mm tandis que les longueurs et largeurs peuvent varier de 100 à 400 mm. Réalisés en béton préfabriqué et non armé, on retrouve les pavés de béton sur les sols extérieurs ou dans les intérieurs.
Poudre très fine, vecteur de la teinte, d'une grande stabilité dans le milieu alcalin du ciment durci et qui additionné à la pâte de ciment peut donner des coloris variés à la surface d'un béton. Dans certains bétons, la proportion de poudres colorantes peut atteindre 10% du poids du ciment.
Adjuvant sous forme de poudre minérale, insoluble, aussi fine que le ciment qui accroît la viscosité et la cohésion du béton frais, elle le rend plus apte à conserver son homogénéité et moins déformable lorsqu'il est démoulé à l'état frais.
Pompe refoulant le béton dans des tuyauteries sous pression depuis la bétonnière jusqu'au lieu de bétonnage, utilisée pour les chantiers d'accès difficile, des ouvrages souterrains, des grands travaux.
Réaction physico-chimique du ciment en présence de l'eau donnant de nouvelles combinaisons, les hydrates, permettant aux particules inertes de se souder les unes aux autres et de former une structure solide et cohérente, le béton.
Le béton fabriqué en centrale contient le dosage en eau optimal. Un ajout d'eau fait baisser les résistances et affecte la pérennité de l'ouvrage.
Etape de la mise en place du béton, postérieure à l'arrêt de coulage. Elle donne souvent lieu à des dispositions particulières : armatures en attente, aciers de couture, repiquage de la surface.
Produit employé pour allonger le temps de maniabilité du béton.
Diminution de volume du béton provenant soit d'un effet thermique (refroidissement trop rapide après la prise du béton...), soit d'un effet chimique (évaporation trop rapide de l'eau...)
L'un des 3 composants du béton. Le sable est issu d'une roche sédimentaire meuble, formée de grains, souvent quartzeux, dont la taille est variable.
Le Superplastifiant est un adjuvant. Introduit dans un béton, mortier ou coulis peu avant le coulage, il améliore très nettement l'ouvrabilité du mélange, à rapport E/C constant. Les superplastifiants étaient auparavant appelés "fluidifiants".
Technique permettant de mettre en mouvement la masse du béton de manière à réduire les frottements et les tensions de ses constituants.
Evolution des caractéristiques physiques et chimiques du béton suivant son âge à partir de sa période de prise.